Azaël, qui décidemment, restait inlaçablement en ce lieu, la vit passer. Se croyant tranquille, mais comment être tranquille dans un telle ruelle, impensable.
Il décida alors de s'avancer vers elle, alors qu'il avait été adossé contre un mur. Il s'approcha d'elle , par derrière, et posa sa main sur son cou, une fois qu'elle fut à portée.
Azaël, avait une soudaine faim, que rien ne pourrait assouvir mieux que le sang d'une frêle humaine apeurée. Un sang que l'adrénaline réchauffe garde un goût toujours plus excellent.
Il serra donc sa main, remplis de griffes, autour de son cou, et ne tenta pas de la retourner, juste de voir sa réaction, pour l'instant.